Finance verte : tout ce que vous devez savoir
La finance verte a connu un essor des plus fulgurants au cours de ces dernières années. L'Association française de la gestion financière (AFG) décrit la croissance de l'investissement responsable (IR) en France comme "exceptionnelle". Les encours des fonds article 8 ou 9 SFDR (Sustainable Finance Disclosure Regulation ont progressé de 5.8% entre 2022 et 2023, s'établissant à 2.5 milliards d'euros, dont 88 milliards spécifiquement sur l'investissement durable (article 9). Cet engagement croissant des acteurs financiers illustre l'urgence d'accélérer la transition vers une économie bas-carbone et durable.
Face aux défis climatiques actuels, la finance verte s’est rapidement imposée comme une solution à privilégier pour financer des projets qui réduisent les émissions de CO₂ et préservent les ressources naturelles. Cet investissement écologique est rapidement devenu un levier incontournable pour les entreprises et les investisseurs soucieux de générer un impact écologique positif.
Nous vous proposons d’étudier les contours de la notion de finance verte afin de savoir comment la mettre en pratique. Profitez également de stratégies d'investissement vert et de conseils pratiques pour orienter votre capital vers des initiatives bénéfiques sur le long terme pour l’environnement.
Qu'est-ce que la finance verte ?
Comprendre la définition du concept de “finance verte” implique de s’intéresser à son historique d’évolution ainsi qu’à son importance et son impact à l’échelle planétaire.
Définition de la finance verte
La notion de “finance verte” désigne l’ensemble des opérations financières et des actions réalisées en faveur de la transition énergétique et de la lutte contre le réchauffement climatique.
Ainsi, la finance verte consiste à financer des initiatives ayant un impact positif sur l’environnement. Elle s'intéresse notamment aux projets qui visent à atténuer les effets du changement climatique, réduire l'empreinte carbone, promouvoir les énergies renouvelables, préserver la biodiversité et gérer les ressources de la Terre de manière durable.
Elle constitue ainsi l’un des piliers de la finance durable, aux côtés de la finance responsable, la finance solidaire, le social business et l’investissement à impact.
Historique et évolution de la finance verte
L’historique de la finance verte révèle une évolution progressive vers une prise de conscience globale de l'importance d'intégrer des critères environnementaux dans les décisions financières.
- 1998 : émergence des critères ESG (environnementaux, sociaux et de gouvernance), avec John Elkington qui les évoque pour la première fois à travers l’expression “Triple Bottom Line”.
- 2001 : émission de la toute première obligation verte à San Francisco
- 2007 : internationalisation du concept d’obligation verte avec l’émission par la Banque européenne d’investissement du climate awareness bond.
- Novembre 2008 : la Banque mondiale émet sa toute première obligation verte (green bond). Elle consolide ainsi le rôle de ces instruments financiers pour mobiliser des fonds en faveur d’initiatives liées à la transition énergétique.
- Septembre 2014 : l’Agence française de développement émet sa première obligation verte. À ce stade, le concept de finance verte connaît un essor rapide, notamment en Europe, avec une prise de conscience accrue des enjeux environnementaux. Les obligations vertes continuent de prospérer.
- 2015 : l’Accord de Paris, négocié par 196 pays, se matérialise par un engagement mondial pour limiter le réchauffement climatique à moins de 2°C. De ce fait, l’accord exhorte les États et les acteurs financiers à orienter leurs investissements vers des projets contribuant à la réduction des émissions de CO₂ et à l’adaptation aux impacts climatiques.
- 2017 : lancement de certaines initiatives, telles que le Network for Greening the Financial System (NGFS), pour fédérer les banques centrales et les autorités de régulation autour d’objectifs communs de financement de la transition énergétique.
- 2020 : adoption d’une taxonomie verte européenne dont la vocation est de fournir une classification claire des activités économiques considérées comme vertes ou favorables à l’environnement.
- 2021 : lancement de la Glasgow Financial Alliance for Net Zero (GFANZ), une initiative internationale annoncée à la COP26 qui regroupe plus de 450 institutions financières engagées à aligner leurs portefeuilles sur l'objectif de neutralité carbone d'ici 2050.
De nos jours, la finance verte est devenue une composante majeure de la stratégie climatique de nombreuses institutions financières et un axe prioritaire des politiques publiques dans le monde. Elle joue également un rôle clé dans l'adaptation au changement climatique, en finançant des projets qui renforcent la résilience des sociétés face aux impacts environnementaux croissants.
Importance et impact de la finance verte
La finance verte représente un levier stratégique pour réorienter les flux de capitaux vers des projets à forte valeur environnementale et ainsi contribuer à une transition vers une économie bas-carbone.
Selon l’Agence internationale de l'énergie, les investissements annuels dans la décarbonation de l’énergie devraient s’élever à plus de 4 000 milliards d’euros en 2030, contre 1 800 milliards d’euros en 2021. Cette croissance exponentielle démontre à quel point la finance verte est capitale pour combler le fossé entre les besoins en financement et les objectifs climatiques globaux.
Les obligations vertes sont essentielles dans cette mobilisation de capitaux. Depuis leur lancement sur la scène internationale en 2007, elles sont devenues un instrument clé pour canaliser des fonds vers des initiatives durables. En 2021, les émissions mondiales d'obligations vertes ont atteint 500 milliards de dollars, ce qui illustre l'intérêt croissant des investisseurs pour ces produits financiers. En outre, la finance verte est une excellente option pour s'offrir des rendements stables tout en diversifiant son portefeuille d’investissement.
Par ailleurs, cette notion est cruciale pour gérer les risques financiers liés au changement climatique. Les événements climatiques extrêmes, tels que les inondations et les sécheresses, posent des risques physiques majeurs pour les entreprises et les infrastructures. D’un autre côté, les réglementations environnementales de plus en plus strictes créent des risques de transition pour les secteurs à forte intensité de carbone, comme l’industrie pétrolière, l’énergie ou les transports.
Enfin, on retiendra que la finance verte a un impact direct et mesurable sur la réduction des émissions de gaz à effet de serre, la préservation des ressources naturelles et des écosystèmes.
Quels sont les avantages de la finance verte ?
La finance verte se distingue par sa capacité à concilier performance économique et objectifs environnementaux, tout en générant des retombées sociales positives. Elle représente un levier puissant pour transformer l'économie en un modèle plus durable et inclusif.
Avantages environnementaux
L’un des principaux objectifs de la finance verte est de soutenir la transition vers une économie décarbonée. Cela passe par le financement d’actions à impact positif sur l'environnement, qui participent à la réduction des émissions de gaz à effet de serre et à la préservation des ressources naturelles.
- Réduction des émissions de gaz à effet de serre : le financement d’initiative en faveur des énergies renouvelables, tels que les parcs éoliens, les centrales solidaires ou encore les technologies de captage et de stockage du carbone, permet de réduire considérablement la dépendance aux énergies fossiles.
- Préservation des ressources naturelles : elle est également efficace pour financer des projets de préservation des ressources naturelles. Cela inclut la protection des forêts, la gestion durable des ressources en eau et la promotion de l’agriculture durable.
- Promotion de l’économie circulaire : l’un des objectifs de la finance verte consiste à soutenir une économie qui minimise les déchets et maximise la réutilisation des ressources. Ainsi, cela se matérialise par le financement d’entreprises et de projets en faveur de l’économie circulaire, tels que le recyclage des matériaux ou la fabrication de produits durables.
- Adaptation aux impacts du changement climatique : la finance verte finance aussi des projets d’adaptation, qui visent à renforcer la résilience des sociétés face aux effets du changement climatique. Cela inclut la construction d’infrastructures résilientes aux inondations, la gestion de l’eau ou encore la reforestation pour prévenir l’érosion des sols.
Pour l’environnement, la finance verte permet donc de préserver la biodiversité, de lutter contre le réchauffement climatique et d’encourager les investissements vers des solutions plus durables pour protéger les écosystèmes et les ressources naturelles sur le long terme.
Avantages économiques
Loin de se limiter à des considérations environnementales, la finance verte génère également des bénéfices économiques tangibles. Elle permet de diversifier les opportunités d’investissement, de créer des emplois et de stimuler l'innovation dans des secteurs d’avenir.
- Réduction des risques financiers liés au climat : elle permet de réduire les risques financiers liés au climat en orientant les investissements vers des projets durables. En évitant les secteurs à forte intensité de carbone et vulnérables aux réglementations climatiques, elle protège les investisseurs des pertes potentielles dues aux catastrophes naturelles ou aux transitions énergétiques abruptes.
- Attraction d’investisseurs responsables : les investisseurs qui souhaitent intégrer des critères ESG dans leurs décisions d’investissement sont attirés par des projets ayant un impact environnemental positif, tels que les obligations vertes.
- Création d’emplois verts : la transition vers une économie verte suppose de développer de nouvelles infrastructures et technologies. Ainsi, de nombreux emplois verts sont créés dans des secteurs tels que les énergies renouvelables, la construction durable et la gestion des ressources. À ce sujet, l’Agence internationale de l’énergie (AIE) a estimé que la transition énergétique pourrait générer plus de 24 millions d’emplois dans le monde d’ici 2030.
- Accélération de l’innovation technologique : le financement de projets verts stimule l’innovation à travers le développement de nouvelles technologies pour l’efficacité énergétique, le stockage de l’énergie ou encore la mobilité verte.
Ainsi, force est de constater que la finance verte ne se contente pas de protéger l’environnement, elle est également un moteur de croissance économique qui réduit les risques financiers, attire des investisseurs responsables, stimule la création d’emplois et l’innovation.
Avantages sociaux
La finance verte, au-delà de ses impacts économiques et environnementaux, a des effets sociaux significatifs en ce qu’elle permet de contrecarrer les inégalités, d’améliorer la qualité de vie et de promouvoir une gouvernance plus responsable.
- Réduction de la précarité énergétique : de nombreux projets financés par des fonds verts visent à améliorer l’efficacité énergétique des logements, notamment pour les ménages les plus modestes. De telles initiatives ont pour ambition de lutter contre la précarité énergétique, ce qui suppose de réduire le coût de l’énergie pour les foyers les plus vulnérables.
- Amélioration de la santé publique : le financement de projets verts, tels que la gestion des déchets ou la réduction de la pollution de l’air, ont des retombées positives directes sur la santé des populations. À titre d’exemple, le financement de pistes cyclables à Paris a permis d’améliorer la qualité de l’air dans la capitale et ainsi de diminuer le risque d’y développer une maladie respiratoire.
- Renforcement de la cohésion sociale : elle favorise également des modèles d’investissement participatif pour permettre aux citoyens de s’impliquer directement dans des projets locaux de transition énergétique. Par exemple, des plateformes comme Énergie Partagée en France permettent aux citoyens d’investir dans des projets d’énergie renouvelable dans leur région
- Promotion de la transparence et de la gouvernance responsable : la finance verte encourage les entreprises à adopter des pratiques de gouvernance plus responsable et plus transparentes. Les critères ESG exigent une transparence accrue sur les impacts environnementaux et sociaux des projets financés. Les entreprises qui respectent ces critères sont perçues comme plus fiables et résilientes, ce qui les rend plus attractives pour les investisseurs.
En favorisant l’innovation, la création d’emplois et une meilleure qualité de vie, la finance verte constitue une véritable opportunité pour construire un avenir responsable et inclusif.
Comment investir dans la finance verte ?
Investir dans la finance verte représente une démarche à la fois rentable et responsable en ce qu’elle allie rendement financier et contribution positive à l’environnement.
Pour optimiser ses choix d'investissement, il importe de bien comprendre les différentes classes d'actifs verts. Par ailleurs, il est capital d'évaluer rigoureusement les critères de sélection des projets et d'adopter des stratégies d'investissement structurées.
Quels sont les différents types d'investissements verts ?
Le champ de la finance verte est vaste et comprend plusieurs instruments financiers adaptés à la transition écologique et conçus pour répondre aux attentes des investisseurs soucieux de durabilité.
- Obligations vertes (Green Bonds) : ces titres de dette sont émis par des gouvernements, des institutions financières ou des entreprises pour financer des projets ayant des impacts environnementaux positifs. Les obligations vertes représentent un investissement stable et sécurisé pour les investisseurs cherchant à allier rendement et durabilité.
- Actions vertes : les actions dans des entreprises engagées en faveur de l’écologie dans des secteurs tels que la gestion durable des ressources ou encore les technologies propres constituent un autre moyen d’investir dans la finance verte.
- Fonds verts ou thématiques : il s'agit de fonds d'investissement qui financent exclusivement des projets ou entreprises liés à des thèmes environnementaux, comme les énergies renouvelables ou la transition écologique.
- ETF verts (Exchange-Traded Funds) : les ETF sont des fonds qui suivent un indice boursier, comme le MSCI Global Green Building Index, par exemple. Ils permettent de soutenir des entreprises ou projets verts. Cela permet d’investir avec une grande liquidité et à moindres frais dans un large éventail d’entreprises durables.
- Crowdfunding pour projets écologiques : de plus en plus de plateformes de financement participatif permettent aux particuliers de financer directement des projets environnementaux, comme des fermes solaires ou des parcs éoliens. Ce type d'investissement est particulièrement adapté aux investisseurs qui souhaitent financer des initiatives locales à fort impact.
- SCPI éco-responsables (Société Civile de Placement Immobilier) : ce véhicule d’investissement immobilier peut financer des projets respectueux de l’environnement, tels que des bâtiments à haute performance énergétique ou des infrastructures éco-responsables.
De tels instruments financiers permettent de répondre à des besoins d’investissement variés, en fonction du niveau de risque et des objectifs d’investissement.
Selon quels critères choisir un investissement vert ?
Tous les moyens de financer des initiatives vertes ne se valent pas, il est donc primordial de bien évaluer en amont les opportunités pour garantir à la fois un retour sur investissement et un impact positif sur l’environnement.
- Impact environnemental mesurable : l’efficacité des projets financés doit être évaluable. Un investissement vert doit avoir un impact tangible, comme la réduction des émissions de gaz à effet de serre, l’amélioration de l’efficacité énergétique ou la gestion durable des ressources naturelles.
- Respect des critères ESG : il est essentiel de s'assurer que les entreprises dans lesquelles vous investissez intègrent les critères ESG dans leurs pratiques. Une entreprise qui améliore son score ESG aura généralement une gestion des risques plus robuste et une meilleure résilience à long terme.
- Labels et certifications : les labels, comme le label Greenfin ou le label ISR, sont des indicateurs de la conformité d’un investissement aux standards environnementaux et sociaux. Ces certifications sont délivrées par des entités indépendantes pour garantir la transparence et la traçabilité des fonds investis. Les fonds labellisés ISR, par exemple, doivent démontrer un engagement constant en faveur du développement durable.
- Niveau de performance financière : bien que les investissements verts visent à avoir un impact environnemental positif, il est aussi important de surveiller leur rentabilité. Les performances des investissements verts peuvent être aussi bonnes, voire meilleures, que celles des investissements traditionnels.
- Transparence : en ce qui concerne l’utilisation des fonds, l'impact environnemental attendu et les résultats obtenus par l’investissement vert. Cela permet aux investisseurs de suivre l'efficacité des projets financés et de s'assurer qu'ils répondent à leurs attentes en matière de durabilité.
Un bon investissement vert doit allier impact environnemental, performance financière, transparence et respect des critères ESG. Les investissements peuvent s’assurer de contribuer activement à la transition écologique tout en optimisant leurs rendements en sélectionnant des projets certifiés par des labels reconnus.
Quels conseils pour débuter dans la finance verte ?
Débuter dans la finance verte demande une certaine préparation et une compréhension des dynamiques spécifiques à ce type d'investissement.
Tout d’abord, il est crucial de bien s'informer et de préalablement se former en amont de toute décision d’investissement. Ainsi, avant d’investir, vous devrez comprendre les enjeux de la finance verte et les caractéristiques des différents produits financiers. Si vous débutez, il peut être conseillé de commencer par de petits montants d’investissement pour vous familiariser avec les mécanismes.
Par ailleurs, il sera essentiel d’évaluer votre profil d’investisseur en définissant vos objectifs financiers et votre niveau de tolérance au risque. Ainsi, si vous recherchez un rendement stable, les obligations vertes ou les fonds ISR peuvent constituer des options intéressantes. Si vous êtes prêt à prendre plus de risques pour obtenir un rendement potentiel plus élevé, investir dans des actions vertes ou des start-up innovantes dans les technologies propres pourrait être une solution plus adaptée.
Nous vous conseillons de diversifier vos investissements afin de minimiser les risques. En effet, il est vivement recommandé de ne pas concentrer l'ensemble de son portefeuille sur un seul type d'actif ou un seul secteur. Par exemple, il est possible de diversifier ses investissements verts entre actions, obligations, ETF et projets de crowdfunding.
Enfin, nous vous rappelons qu’une fois investi, il est important de suivre régulièrement la performance de votre portefeuille. Le secteur des énergies renouvelables, par exemple, peut être sensible aux fluctuations des prix des matières premières ou aux changements réglementaires.
Afin de maximiser vos chances de succès, il peut être utile de consulter un conseiller en investissement spécialisé dans la finance durable.
Quelles sont les solutions de finance verte chez Homaio ?
Homaio se positionne comme une plateforme innovante dédiée à l'investissement climatique et à la finance verte. En tant qu'acteur engagé dans la transition énergétique, l'objectif de Homaio est de permettre aux investisseurs de contribuer à la réduction des émissions de carbone tout en profitant de rendements attractifs.
Nos offres de finance verte
Homaio propose des solutions d'investissement axées sur la réduction des émissions de carbone. Ces solutions permettent aux investisseurs d’intégrer des actifs climatiques dans leurs portefeuilles et de contribuer à des initiatives ayant un impact positif sur l’environnement. Parmi ces offres, Homaio se concentre particulièrement sur le quota carbone.
- Quotas de carbone européens (EUA) : Homaio propose l'accès aux quotas d'émissions de l'Union européenne (European Union Allowances - EUA), un marché réglementé dans le cadre du Système d'échange de quotas d'émission de l'Union européenne (EU ETS). Ce mécanisme permet de limiter et de réduire les émissions de carbone dans les secteurs les plus polluants, comme l'industrie et l'énergie. En investissant dans les EUA, les investisseurs peuvent participer activement à la lutte contre le réchauffement climatique tout en profitant des opportunités financières qu'offrent ces marchés en pleine expansion.
- Marchés émergents de quotas : en plus des EUA, Homaio explore d'autres marchés de quotas de carbone en développement, tels que ceux du Royaume-Uni (UKA) et de Californie (California Carbon Allowances - CCA). Tous ces marchés constituent des opportunités supplémentaires afin de diversifier les investissements et contribuer dans le même temps à la réduction globale des émissions de gaz à effet de serre.
Homaio se distingue par sa capacité à rendre ces instruments financiers accessibles aux investisseurs tout en garantissant un suivi rigoureux de leur impact environnemental.
Pourquoi choisir Homaio pour vos investissements verts ?
Homaio se démarque par son approche innovante et rigoureuse dans le domaine de la finance verte. Plusieurs raisons justifient le fait de choisir Homaio pour vos investissements verts.
- Transparence et traçabilité : Homaio met un point d'honneur à proposer des solutions d'investissement transparentes. Les investisseurs peuvent suivre précisément l'impact environnemental de leurs placements, notamment la réduction des émissions de CO₂ liée à leurs actifs. Cette traçabilité assure que les fonds investis sont véritablement dirigés vers des projets verts à fort impact écologique.
- Rendement financier couplé à l’impact environnemental : Homaio vise aussi bien à offrir des investissements alignés sur les objectifs climatiques que des rendements compétitifs. Avec l'augmentation des régulations liées aux émissions de carbone et le besoin croissant des entreprises de se conformer aux exigences environnementales, les actifs climatiques, tels que les quotas de carbone, représentent un potentiel de croissance considérable.
- Innovation constante : Homaio reste à l'avant-garde de l'innovation dans le secteur des actifs climatiques. En cherchant constamment de nouvelles opportunités d’investissement, comme l’extension vers de nouveaux marchés de quotas de carbone ou des produits financiers spécifiques à l'environnement, la plateforme permet à ses utilisateurs de rester proactifs dans le domaine de la finance durable.
- Engagement vers la durabilité : enfin, on notera que Homaio s'engage à créer une réelle différence dans la lutte contre le changement climatique. Les investisseurs qui font confiance à Homaio sont assurés que leurs capitaux soutiennent des initiatives ayant un impact mesurable et positif sur l'environnement.
Pour résumer, Homaio combine une expertise approfondie en finance verte avec des produits d'investissement à fort potentiel. Pour les investisseurs soucieux de l’environnement, c’est une solution clé en main qui allie rendement financier et impact positif sur le climat.