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Où mettre son argent en dehors des banques

Résumé

Cet article explore les alternatives d'investissement hors banques face aux rendements bancaires faibles. Il couvre l'immobilier (direct, SCPI, crowdfunding), les métaux précieux, l'assurance-vie non bancaire, les ETF, et les cryptomonnaies. Une section importante est dédiée aux investissements verts et durables, incluant l'assurance-vie et PEA ISR, les ETF verts, les obligations vertes, le crowdfunding écologique et les FCPR greentech. Enfin, il présente le marché du carbone via Homaio pour un impact environnemental direct. L'objectif est de reprendre le contrôle de son patrimoine et d'explorer des voies plus rentables et responsables.

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Investir en dehors des banques est une approche proactive qui permet de reprendre la main sur son patrimoine et son avenir.  Cela ne relève pas d’une posture marginale mais d’une véritable tendance de fond. L’une des raisons ? Les rendements des produits bancaires, tels que les nombreux livrets d’épargne - Livret A, LDDS (Livret de Développement Durable et Solidaire) et autre LEP (Livret d’Épargne populaire) s’avèrent bien loin d’afficher des niveaux intéressants, ne serait-ce que pour effacer le niveau d’inflation des années passées. Aussi, les supports d’investissements hors circuit bancaire sont plus rentables dans de nombreux cas de figure. Quelles solutions s’offrent à vous ? Tour d’horizon des possibilités. 

Les points à aborder pour investir en dehors des banques

Avant de vous pencher sur les différentes opportunités d’investissement hors circuit bancaire, plusieurs aspects doivent être abordés. 

Les objectifs, le profil et l’horizon d’investissement

Commencez par cartographier vos objectifs en définissant ce que vous attendez de vos investissements. La possibilité de concrétiser des projets à moyen terme ? Profiter d’une rente à plus long terme en vue de compléter des revenus au moment de la retraite par exemple ? Peut-être les deux à la fois ? Ces questions permettent de vous orienter sur un type de placement plutôt qu’un autre.  

La tolérance au risque

Selon l’approche du couple rendement-risque, plus le risque de perte en capital est élevé, plus la possibilité de profiter d’un haut rendement l’est tout autant. Et inversement. 

Bien évaluer sa tolérance à la prise de risque est essentiel de s’orienter vers des typologies d’investissements correspondant à son profil d’investisseur. Car les alternatives « hors-banque » couvrent un spectre large : du fonds euros garanti jusqu’aux cryptomonnaies ultra-volatiles. Se connaître, et connaître les conséquences d’une perte, reste le meilleur amortisseur de turbulences de marchés.

Intégrer la fiscalité et la liquidité

Le volet fiscal des investissements de même que la liquidité de chaque support sont deux paramètres à considérer. 

Optimiser la fiscalité permet de préserver ses rendements, tandis que la liquidité garantit la capacité à mobiliser ses fonds rapidement. En combinant les deux, l’investisseur peut accéder à des actifs alternatifs — immobilier, métaux précieux, private equity — tout en maîtrisant les flux et les coûts.

Panorama des catégories de placements hors banque

Les supports d’investissement hors banque sont nombreux et diversifiés ; de l’immobilier traditionnel au marché des quotas carbone en passant par les ETF entre autres. Ils affichent par ailleurs comme intérêt d’offrir un rendement supérieur aux sempiternels livrets d’épargne bancaires.

L'immobilier, encore et toujours une solution d’investissement

L'immobilier détient encore aujourd’hui une place de choix dans la stratégie patrimoniale des Français. Et investir dans la pierre en direct, sans avoir recours au crédit bancaire, est une tendance à la hausse.

L’achat comptant d’un studio ou d’un garage par exemple évite l’intermédiation bancaire. Les loyers perçus créent des revenus qui amortissent l’investissement, et une plus-value de la valeur du bien peut par ailleurs être à l'œuvre.  

Les SCPI 

Les Sociétés Civiles de Placement Immobilier – SCPI - permettent d'acquérir des parts de patrimoines locatifs professionnels mutualisés. Le rendement moyen en 2024 plaide pour cette typologie d’investissement : entre 4% et 5% voire un peu plus encore. Les SCPI représentent par ailleurs une solution accessible aux investisseurs de par la mise de départ basse : de l’ordre de quelques centaines d’euros voire quelques milliers d'euros.  Aussi, lorsque les parts sont intégrées dans un contrat d'assurance-vie, elles bénéficient d'une fiscalité allégée.

Le crowdfunding immobilier

Avec des tickets d'entrée à partir de 1 000 €, le financement participatif immobilier permet de prêter à des promoteurs en dehors du canal bancaire. Les plateformes telles que Monego, Baltis ou encore La Première Brique annoncent des rendements compris entre 9% et 11% pour cette année 2025.

Métaux précieux : l’or physique

Au côté de l’immobilier, le métal précieux reste une valeur refuge, surtout en temps de déstabilisation monétaire. L'achat de lingots et de pièces permet une sortie totale du système bancaire. Depuis 2019, le cours de l’or a doublé.

Attention toutefois à la fiscalité : à la revente, vous choisissez entre la taxe forfaitaire sur les métaux précieux (11,5 %) ou la taxe sur la plus-value, avec un abattement progressif dès 3 ans et exonération totale au bout de 22 ans.

Assurance-vie ouverte chez un assureur ou un courtier en ligne

Les contrats d'assurance-vie ne sont pas exclusivement bancaires. Des acteurs comme Nalo, Linxea ou Yomoni proposent des produits sans lien direct avec votre banque.

Les fonds euros ont affiché en 2024 un rendement moyen de 2,5%, avec garantie en capital. 

Les ETF

Les ETF permettent d'accéder aux grands indices mondiaux (S&P500, MSCI World...) pour des frais souvent compris entre 0,3% et 0,5% par an. L'achat se fait via un compte-titres, un PEA ou une assurance-vie.

Un portefeuille ETF globalement diversifié peut produire entre 4%, 7% et même 10% de rendement annuel.

Cryptomonnaies : actifs décentralisés, mais hautement volatils

Les cryptomonnaies comme le Bitcoin ou l'Ethereum offrent une sortie radicale du monde bancaire.

En 2024, après une période de correction, le Bitcoin affiche une hausse de +120 % sur un an. Mais l’exposition au risque est fondamentalement très élevée. 

Placer son argent en dehors des banques grâce aux solutions d’investissements verts

Placer son argent en dehors des banques peut être réalisé à travers le prisme de l’investissement vert. Il est en effet désormais possible de conjuguer performance financière et impact positif sur l’environnement et la société, grâce à une offre de plus en plus étoffée de produits labellisés verts et durables. 

Les supports d’investissement durable

L’assurance vie ISR : souplesse, fiscalité et durabilité

L’assurance vie reste l’un des placements favoris des Français. En plus de ses avantages fiscaux et successoraux, elle se réinvente à travers des contrats labellisés ISR, qui permettent d’allier rendement et impact. En optant pour des unités de compte investies dans des fonds durables, il devient possible de construire un portefeuille cohérent avec ses valeurs. Les contrats les plus innovants du marché, comme ceux proposés par Goodvest ou Moka, offrent même une allocation 100% durable.

Le PEA orienté ISR : investir dans des actions durables

Le Plan d’Épargne en Actions (PEA) peut lui aussi être orienté vers des investissements responsables. En sélectionnant des actions ou fonds labellisés ISR, Greenfin ou ESG, il est possible de soutenir des entreprises cotées engagées dans la transition énergétique, les technologies propres ou encore l’économie circulaire. Outre l’intérêt écologique et social, le PEA conserve ses atouts fiscaux après cinq ans de détention. Ce placement combine donc performance potentielle et engagement éthique, sans faire de compromis.

Les ETF verts : l’accès simplifié aux indices durables

Les ETF (Exchange Traded Funds) verts offrent une exposition large et diversifiée aux marchés responsables. Ces fonds indiciels cotés répliquent la performance d’indices composés d’entreprises sélectionnées pour leur contribution à la transition écologique. Les ETF peuvent être intégrés au sein d’un PEA ou d’un compte-titres. 

Les green bonds : soutenir les projets écologiques par l’obligation

Les obligations vertes – ou green bonds – sont des titres de dette destinés à financer exclusivement des projets à vocation écologique. Ces obligations attirent particulièrement les investisseurs institutionnels, séduits par leur rendement stable et leur cadre éthique. Ce type de placement constitue une solution attractive pour les épargnants à la recherche de stabilité, tout en prenant part à la transition énergétique.

Le crowdfunding écologique : investir local et vert

Le financement participatif se met lui aussi au vert. Des plateformes comme Lendosphere, Enerfip ou Solylend permettent aux particuliers d’investir directement dans des projets d’énergie renouvelable : fermes solaires, parcs éoliens, installations biomasse… L’investisseur choisit les projets, le montant et la durée de son engagement. 

L’immobilier responsable : SCPI vertes et rénovation énergétique

Certaines SCPI se spécialisent dans les biens éco-responsables. C’est le cas de Novaxia R ou Kyaneos Pierre, qui investissent dans des immeubles à rénover pour en faire des logements à haute performance énergétique. Ces placements offrent un rendement locatif stable, une valorisation patrimoniale sur le long terme tout en contribuant activement à la transition énergétique du parc immobilier français.

FCPR greentech : miser sur l’innovation verte

Les FCPR (Fonds Communs de Placement à Risques) spécialisés dans la greentech sont une piste audacieuse. Ces fonds investissent dans des start-ups innovantes du secteur environnemental (efficacité énergétique, recyclage, mobilité verte, etc.). Si le potentiel de valorisation est important, ces produits restent risqués : le capital n’est pas garanti et les horizons d’investissement sont longs. Mais ils permettent de soutenir l’innovation à la source, là où elle est la plus prometteuse.

Le marché des quotas carbone : vers une nouvelle ère

Le marché des quotas carbone est aujourd’hui au cœur de la transition énergétique et écologique mondiale. Il représente un levier puissant de réduction des émissions de gaz à effet de serre en fixant un plafond d’émissions pour les entreprises et en leur attribuant des droits d’émettre une quantité limitée de CO₂. 

Zoom sur Qu’est-ce qu’un quota carbone ?

Un quota carbone ou quota d'émission est un droit d’émettre une quantité définie de dioxyde de carbone. Le système de quotas est au cœur des politiques climatiques de nombreux pays, notamment en Europe avec le système d’échange de quotas d’émission (SEQE-UE). Ces quotas sont limités et progressivement réduits dans le temps, ce qui incite les entreprises à diminuer leurs émissions.

Investir dans ce marché, longtemps réservé aux grandes entreprises et institutions, devient désormais accessible aux particuliers grâce à des plateformes innovantes comme Homaio. 

Homaio propose aux investisseurs particuliers une entrée simplifiée et transparente sur ce marché complexe. En offrant des produits financiers basés directement sur les quotas carbone, Homaio permet de convertir l’épargne en une action concrète de réduction des émissions. Acheter un quota avec Homaio, c’est soutenir la réduction réelle du CO₂ dans l’atmosphère, car ces quotas sont retirés du marché lorsqu’ils sont acquis par la plateforme ou ses clients, ce qui limite les émissions globales.

La démarche d’Homaio répond à un besoin croissant : celui d’une finance verte capable de démontrer son impact réel. Alors que la finance ESG classique est parfois critiquée pour son manque de transparence et d’efficacité tangible, Homaio place la preuve physique et la mesure au cœur de son modèle.

Pour l’investisseur, c’est la garantie que son capital ne finance pas seulement des projets « verts » sur le papier, mais qu’il agit concrètement dans la réduction des émissions mondiales. Cette approche novatrice marque un tournant : la finance verte ne peut plus se contenter d’affichages normatifs, elle doit s’appuyer sur des résultats physiques vérifiables.

Mettre son argent en dehors des banques est un moyen de reprendre la gouvernance de son capital dans un monde où les banques ne sont plus l’unique porte d’entrée vers les actifs.

Pour résumer : où mettre son argent en dehors des banques ?

Tandis que les rendements traditionnels des produits bancaires peinent à couvrir l’inflation, de plus en plus d’épargnants cherchent des alternatives pour investir leur argent en dehors du système bancaire classique. Mais comment s’y retrouver dans la diversité des supports existants ? Quels sont les avantages – et les précautions – à prendre ? Voici ce qu’il faut retenir.

L’immobilier en direct : la pierre reste une valeur refuge

Acheter un bien immobilier sans recourir à un crédit bancaire devient une réalité de plus en plus fréquente. Il peut s’agir d’un studio, d’un garage ou d’un bien plus important, acheté comptant. Ce type d’investissement permet de générer des revenus locatifs tout en bénéficiant de la valorisation potentielle du bien. C’est une manière tangible et sécurisante d’investir en dehors du système bancaire.

Les SCPI 

Les Sociétés Civiles de Placement Immobilier permettent d’acheter des parts dans un parc immobilier professionnel. Le rendement moyen oscille entre 4% et 7%, voire plus. Les SCPI sont accessibles avec quelques centaines ou milliers d’euros, et leur intégration dans une assurance-vie offre des avantages fiscaux notables.

Le crowdfunding immobilier 

À partir de 1 000 €, il est possible de financer des opérations immobilières via des plateformes participatives. Les rendements annoncés tournent autour de 9% à 11% par an. 

Les métaux précieux 

L’achat d’or est une valeur refuge, particulièrement prisée en période de turbulences économiques. Toutefois, la fiscalité à la revente peut être lourde (forfait ou plus-value).

L’assurance-vie non bancaire 

Des assureurs indépendants et des courtiers en ligne comme Nalo ou Linxea proposent des contrats d’assurance-vie non liés aux banques. Ils permettent de combiner sécurité (fonds euros à capital garanti, rendement autour de 2,5%), diversification (ETF, unités de compte) et fiscalité avantageuse après 8 ans. 

Actions et ETF 

Grâce aux comptes-titres et PEA, les investisseurs peuvent accéder à l’ensemble des marchés boursiers. Les ETF sont particulièrement prisés pour leurs frais réduits et leur performance : un portefeuille diversifié peut générer 7% de rendement net annuel. 

Les cryptomonnaies 

Les cryptos comme Bitcoin ou Ethereum offrent une alternative radicale au système bancaire. Leurs portefeuilles numériques peuvent être stockés hors ligne, à l’abri de toute intermédiation. Cependant, leur extrême volatilité en fait un support à réserver aux investisseurs avertis, et à limiter à une faible part du patrimoine.

Investir responsable 

Une autre façon de sortir des banques consiste à orienter ses placements vers des produits durables. Plusieurs supports le permettent.

L’assurance vie ISR

Certaines assurances-vie proposent des unités de compte 100% durables. Des contrats comme ceux de Goodvest ou Moka permettent à l’épargnant de savoir exactement dans quels projets environnementaux ou sociaux son argent est investi.

Le PEA ISR

En choisissant des actions ou fonds labellisés ISR, ESG ou Greenfin dans un PEA, il devient possible de soutenir des entreprises engagées dans la transition écologique, tout en bénéficiant des avantages fiscaux du plan d’épargne en actions.

Les ETF verts

Ils répliquent la performance d’indices durables. Ils peuvent être intégrés dans un PEA ou un compte-titres. Leur large diversification et leurs frais réduits en font un outil idéal pour les épargnants souhaitant investir simplement et efficacement dans la finance verte.

Les obligations vertes (green bonds)

Ces titres de dette servent exclusivement à financer des projets écologiques. Ils séduisent par leur stabilité et leur impact mesurable. 

Le crowdfunding écologique

Des plateformes comme Enerfip ou Lendosphere permettent d’investir directement dans des projets d’énergies renouvelables (solaire, éolien, biomasse). Ce mode d’investissement séduit de plus en plus.

SCPI vertes et immobilier responsable

Certaines SCPI, comme Kyaneos ou Novaxia R, se spécialisent dans les logements à haute performance énergétique. Un support d’investissement qui allie rendement locatif et contribution active à la transition énergétique.

FCPR greentech

Les Fonds Communs de Placement à Risques orientés vers les startups de la greentech permettent de miser sur l’innovation durable. Ils offrent un potentiel de rendement élevé, mais avec un niveau de risque important.

Le marché des quotas carbone avec Homaio : une nouvelle frontière de la finance verte

Grâce à Homaio, les particuliers peuvent désormais acheter des quotas carbone, qui sont ensuite retirés du marché. Cela a un effet immédiat sur la réduction des émissions de CO₂. Contrairement à certaines approches ESG critiquées pour leur opacité, ce système repose sur une preuve tangible et mesurable d’impact environnemental.

Homaio incarne ainsi une nouvelle ère de la finance verte, rigoureuse, transparente et connectée au réel. Pour les investisseurs soucieux de concilier rendement, clarté et utilité sociale, ce type d’approche offre une réponse crédible et innovante.

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